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Le cloud computing prévoit que les humanoïdes sont interfacés au moyen des radicelles de l’octet
Des neurones mis en réseau grâce aux débits optiques des téradonnées en vitesse plus que lumière
Hyper connectés grâce aux améliorations du vivant qui clapotent sur des façades à écran capacitif
Une résolution de l’âme full hd au passage OLED d’une vérité qui embrase l’actualité sur le moment
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Les entreprises high tech font les papiers des magnats de la presse publiant lettres et photos
Sur le canevas sorti des rotatives hébergées par un monde physique dont les sens sont logiciels
Une connexion normée wifi au standard 802.11n, l’esprit empruntant plusieurs bandes de fréquence
Pour assouvir des passions modernes établies sur des espaces de stockage supérieurs à 50 gigabits
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Les capacités des smartphones et tablettes sont des excroissances Vinci de l’esprit encyclopédique
Une consultation du génie en temps réel lors d’un débit descendant tethering sur l’échelle 4G
L’information mêlant la consultation et la transformation lors d’un instant rhizomique, jugulaire
Une perfusion de l’esprit issu des pluies millésimées de l’instant qui disparaissent en coup de vent
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Les SaaS reliés aux greffons d’une perfusion sanguine correspondent aux liaisons peer-to-peer
Il ne manque à l’homme qu’une puce Bluetooth installée au niveau de l’hypophyse pour renifler
Un parfum de jujube descendant de la trachée des satellites pour brumiser les cils des serveurs
Les secteurs de la robotique et des nanotechnologies applaudissant leur leader gagnant la partie
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Le Cloud relève d’une mise en 3D des data qui enflent dans le ventre gargantuesque du Léviathan
Une maximisation de l’intelligence au moyen de l’hyper accès conditionné par le désir speed
L’âme verrouillée derrière les décombres et les tumultes qui jaillissent de la grande bataille
Microsoft, Google et Apple se livrant la Troisième Guerre mondiale au moyen des drones hardware
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La flibuste des hackers couvre les eaux de l’Indien, entre les malbots et trojans qui appontent,
Un harpon sur le sol fiévreux tremblant de cryptage sous l’effet d’une tectonique du changement
Parce que les technologies du codage passent de la machine de Lorentz à un reCaptcha illisible
Un espace de virtualisation rendant possible les affabulations qui se déplacent, chimères, dans le réel
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Après l’invention du Web, ce paradis eschatologique pour les âmes en transit, l’homme programmeur
Richard Stallman lançait GNU après UNIX, bientôt Android, une matière vivante ionisée d’espoirs
Sous l’effet des trolls et des collectes d’informations inondant notre panier de mémoire disponible
Une barrette de mémoire vive connectée à la rétine se cramant au contact des porcheries du texte
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Les marins hacktivistes d’Anonymous plantent des virus dans le sillon des failles de sécurité
Cette saumure de l’esprit borgne, que colmate avec des barbelés juridiques le Patriot Act,
Une lutte autour du contrôle des données qui capture en mouvement les flux du réseau
Car les titres gros porteurs exodent une nouvelle forme de grève en dehors des rues physiques
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Les pirates, Robin des bois communautaires, s’appellent LulzSec, Telecomix ou Chaos Computer Club
Une cinquième colonne en ordre de marche représentant le contre-pouvoir face à l’establishment triste
Mettant au grand jour la nécessaire (?) protection des données privées créant un métier dans les NTIC
Ces croqueurs de l’espace public mordant le fromage un pied dans les fers sous le feu des canons à ions
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Le monde n’est plus là, la circumnavigation n’appartient plus au voyage, une philosophie s’éveille
Un postpositivisme postpostmoderne dans les premiers silos du Nouveau roman qui balbutie
Un poème puis un autre jusqu’au chapitre où le texte clarifié apostrophe le concept libéré
Le mouvement des 99% apparenté à Anonymous par le biais d’Occupy Wall Street à Oackland
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